Partager
avec les pauvres nous permet de comprendre l’Évangile dans sa vérité la plus
profonde.
Les textes bibliques de ce dimanche nous
disent que nous avons tous une mission à remplir. Cette mission nous a été
confiée par le Seigneur. Un jour, il reviendra et nous aurons à lui rendre des
comptes. C’est chaque jour que nous avons à nous préparer à cette grande
rencontre. Pour cela, nous ne sommes pas seuls. Le Seigneur lui-même est là au
cœur de nos vies pour nous conduire sur le chemin de la sainteté.
Le livre des
Proverbes (1ère lecture) nous parle de la femme vaillante, très appréciée pour
ses qualités d’épouse et de mère ; elle fait le bonheur de son mari et de ses
enfants.
Elle montre également ses qualités de cœur devant Dieu et devant le pauvre. Elle nous rappelle que nous avons à répondre à notre vocation présente. Les bonnes œuvres dont nous parle cette lecture, c’est notre amour pour Dieu et notre engagement au service des autres.
La journée du Secours catholique est là pour nous le rappeler.
Elle montre également ses qualités de cœur devant Dieu et devant le pauvre. Elle nous rappelle que nous avons à répondre à notre vocation présente. Les bonnes œuvres dont nous parle cette lecture, c’est notre amour pour Dieu et notre engagement au service des autres.
La journée du Secours catholique est là pour nous le rappeler.
Le pape
François nous adresse une lettre pour la 1ère journée mondiale du
pauvre,
je vous en lie un extrait :
je vous en lie un extrait :
Ne pensons pas aux pauvres
uniquement comme destinataires d’une bonne action de volontariat à faire une
fois la semaine, ou encore moins de gestes improvisés de bonne volonté pour
apaiser notre conscience. Ces expériences, même valables et utiles pour
sensibiliser aux besoins de nombreux frères et aux injustices qui en sont
souvent la cause, devraient introduire à une rencontre authentique avec les
pauvres et donner lieu à un partage qui devient style de vie. En effet, la
prière, le chemin du disciple et la conversion trouvent, dans la charité qui se
fait partage, le test de leur authenticité évangélique.
Et de cette façon de vivre dérivent joie et sérénité d’esprit, car on touche de la main la chair du Christ. Si nous voulons rencontrer réellement le Christ, il est nécessaire que nous touchions son corps dans le corps des pauvres couvert de plaies, comme réponse à la communion sacramentelle reçue dans l’Eucharistie. Le Corps du Christ, rompu dans la liturgie sacrée, se laisse retrouver, par la charité partagée, dans les visages et dans les personnes des frères et des sœurs les plus faibles. Toujours actuelles, résonnent les paroles du saint évêques Chrysostome : « Si vous voulez honorer le corps du Christ, ne le méprisez pas lorsqu’il est nu ; n’honorez pas le Christ eucharistique avec des ornements de soie, tandis qu’à l’extérieur du temple vous négligez cet autre Christ qui souffre du froid et de la nudité »
Et de cette façon de vivre dérivent joie et sérénité d’esprit, car on touche de la main la chair du Christ. Si nous voulons rencontrer réellement le Christ, il est nécessaire que nous touchions son corps dans le corps des pauvres couvert de plaies, comme réponse à la communion sacramentelle reçue dans l’Eucharistie. Le Corps du Christ, rompu dans la liturgie sacrée, se laisse retrouver, par la charité partagée, dans les visages et dans les personnes des frères et des sœurs les plus faibles. Toujours actuelles, résonnent les paroles du saint évêques Chrysostome : « Si vous voulez honorer le corps du Christ, ne le méprisez pas lorsqu’il est nu ; n’honorez pas le Christ eucharistique avec des ornements de soie, tandis qu’à l’extérieur du temple vous négligez cet autre Christ qui souffre du froid et de la nudité »
Nous sommes appelés, par
conséquent, à tendre la main aux pauvres, à les rencontrer,
à les regarder dans les yeux, à les embrasser, pour leur faire sentir la chaleur de l’amour qui rompt le cercle de la solitude. Leur main tendue vers nous est aussi une invitation à sortir de nos certitudes et de notre confort, et à reconnaître la valeur que constitue en soi la pauvreté.
à les regarder dans les yeux, à les embrasser, pour leur faire sentir la chaleur de l’amour qui rompt le cercle de la solitude. Leur main tendue vers nous est aussi une invitation à sortir de nos certitudes et de notre confort, et à reconnaître la valeur que constitue en soi la pauvreté.
Que cette nouvelle Journée
Mondiale, par conséquent, devienne un appel fort à notre conscience de croyants
pour que nous soyons plus convaincus que partager avec les pauvres nous permet
de comprendre l’Évangile dans sa vérité la plus profonde.
Les pauvres ne sont un
problème : ils sont une ressource où il faut puiser pour accueillir et vivre
l’essence de l’Évangile.
La journée
du Secours catholique nous donne l’occasion de répondre à cet appel du
Seigneur. Depuis 1946, cette structure s’efforce de rayonner la charité. Dans
chrétiens s’organisent pour faire reculer tout ce qui déshumanise.
Malheureusement, les pauvres sont trop souvent victimes de préjugés. Nous
vivons dans un monde dur et violent.
Un jour, la question nous sera posée : « Qu’as-tu fait de ton frère ? » N’oublions pas,
ce qui donne de la valeur à notre vie, c’est notre amour de tous les jours pour tous ceux et celles qui nous entourent.
Un jour, la question nous sera posée : « Qu’as-tu fait de ton frère ? » N’oublions pas,
ce qui donne de la valeur à notre vie, c’est notre amour de tous les jours pour tous ceux et celles qui nous entourent.
En ce jour,
nous pouvons reprendre l’oraison du missel : « Accorde-nous, Seigneur,
de trouver notre joie dans notre fidélité car c’est un bonheur durable et profond de servir constamment le créateur de tous biens. Amen.
de trouver notre joie dans notre fidélité car c’est un bonheur durable et profond de servir constamment le créateur de tous biens. Amen.
De diverses
sources
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